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Occultic;Nine - Anime (2016)

Anime de Kyōhei Ishiguro Thriller et animation (arrêté) Tokyo MX 25 min 9 octobre 2016

Yûta Gamon est un élève de première. Il gère le blog d’occultisme Kiri-Kiri Basara, via lequel il se retrouve lié à neuf individus hauts en couleur. Ils se retrouvent confrontés à de petites incongruités qui cachent en fait un problème beaucoup plus grand et déconcertant qui pourrait changer la face du monde.

Film Occultic;Nine - Anime (2016)
SERVEUR 1

Occultic Nine est clairement l'animé crée sur une bonne idée: "Oh tiens, et si un jour on faisait un manga sur l'occultisme" Mais malheureusement si bon scénario pouvait être un gage de qualité ...

L'histoire est tourné autour d'un groupe de protagoniste qui va vivre des phénomènes paranormaux, c'est les héros qui font vivre l'histoire, et sur les 9 protagonistes, 3 sont appréciable (sans forcément être intéressant). Entre la fille stupide définit sur sa poitrine de 2m08 en la personne de Ryoka qui est constamment en train de brailler et qui est présenté comme un personnage "mascotte" comique alors qu'elle est plus insupportable que comique, le héros principale en la personne de Yūta qui n'est juste qu'un puceau sans vie sociale qui s'émerveille devant les melons de Ruoka et ne pensent qu'au nombre de visite sur son site d'occultisme pour le fric (un modèle d'exemple donc ...) et qui au passage véhicule une très belle image des gens qui se sentent geeks, "le transsexuel" (oui j'ai pas trouver de nom pour ce personnage, donc je suis désolé si ça choque) qui est en surjeux constant sur son caractère efféminé surement pour rendre le personnage plus drôle parce que c'est tellement drôle un transsexuel (LOL), ... Ce ne sont (presque) que des stéréotypes. Et puis même sans trop s'attarder sur des détails comme "Oh mon dieux, cette animé respectent pas la communauté féminine et homosexuel", l'histoire tiens sur des Deus Ex Machina absolument honteux

comme la scène avec Sarai (stéréotype n°10 000 du brun ténébreux avec un passé tragique) et Yuta, où ils sont dans la maison du professeur pour trouver des indices, la radio MYSTÉRIEUSE gueule sur Yuta dans toute la maison, Sarai est à côté de la porte de la salle où se trouve Yûta et la fameuse radio, comment il fait pour pas l'entendre ? Parce que sinon il y a plus de scénario. Et aussi, c'est comme le flic avec une tête d'enfant qui prend h24 un air supérieur en la personne de Shun, pourquoi il a effacer des preuves quand il a découverts le corps du professeur ? A qui il passait ses coup de file ? Pourquoi a-t-il pris le carnet de Ririka ? "Top Secret" parce que sinon je sert à rien et parce que sinon on aurait du prendre le temps de créer une vrai histoire et un vrai scénario, et je sais pas si t'as remarquer mais on a un peu la flemme de le faire. Bisous, Serge, représentant de l'équipe de développement d'Occultic Nine :)

La trame de l'histoire qui avance constamment au ralenti sur la première parti de l'animé au point que tu décroches complétement. L'oxygène narratif étant mal réparti, on a peu voir pas d’intérêt sur la trame narrative. L'animé se focalise sur Yûta à 35%, Ryoka et ses âneries (en comptant aussi les âneries du transsexuel et tous le "comic relief" raté qui coupent l'action) 30%, et le reste (les autre personnage et l'intrigue) se partage péniblement le reste. Le design de l'animé est dégueulasse avec des couleurs pâle et sans relief que beaucoup d'animé réalisé bien des années avant Occultic Nine peut égaler voir surpasser, à part sur certain moment lors de certain zoom malsain sur une bouche pleine de salive ou encore sur les scènes ridiculement gores comme la scène du Kotoribako ou la toute première scène avec le repêchage de tout ses cadavres dans le lac. Normalement ses parties prix artistiques ont pour but d'exprimé quelque chose, là non, c'est juste des pointes d'effort par ci par là, comme s'ils avaient à des moments de réels ambitions et qu'ils avaient envi de travailler. Dommage que cela ne soit pas continu tous le long du manga et pas des pointes d'efforts à quelques endroits. Les décors sentent le recyclé, c'est le Tokyo actuel vu, revu, et rerevu, aucun travaille d’appropriation. Seul les traits sont soigné et font contemporain, mais il n'y a qu'à voir sur la banderole de la page Sens Critique pour constater à quel point les graphismes sont pas soigné pour un animé sorti en 2016. Il suffit pas de créer un style graphique random pour que ce soit du bon travail, il faut soigner ce style pour que tous le monde puisse l'apprécier. Le Sound Design (musique, traitement du volume sonore, traitement des effets sonores, ...) est raté, on est constamment en train de monter et baisser le son pour pouvoir "apprécier" le visionnage, la première scène avec Yuta et Ryoka en est un parfait exemple, les personnages parlent trop forts, et le visionnage devient très vite chiant. Il y a pas de réels moments de tranquillité, on a soit un empilement de bruitage, soit des personnages qui parlent (souvent pour ne rien dire), soit une musique pas forcément classe. Les personnages qui parlent pour rien dire, j'avais oublier ce détail. L'animé essaye continuellement d'apporter des précisions et de la "complexité" sur son scénario pour le rendre plus mystérieux mais ce qui le rend de moins en moins intéressant et de plus en plus maladroit, ce qui fait qu'à AUCUN moment tu penses que ce scénario est réaliste, ou du moins assez réaliste pour être croyable, donc t'y crois pas, donc tu t'intéresses plus vraiment à l'histoire. Normalement une bonne histoire c'est une histoire où tu peux y croire, ou qui est tellement bien raconté que tu rêve pour que ce soit réel. L'épisode 1 c'est l'avalanche. Toutes les 5/10min tu as un personnages ou une scène qui arrive, où les éléments scénaristiques arrivent, comme un boulet de canon, entassé, et ils te le lancent à la gueule sans aucune subtilité et sans préparer en amont l'arrivé de ses information. La rencontre entre Sarai et la dessinatrice, ou la "RENCONTRE" entre Sarai et l'inspecteur en sont des parfaits exemples. Oui les scènes où il y a le plus d'avancé dans la trame narrative sont avec Sarai alors qu'il a une présence d'antenne beaucoup plus petite que celle de Yuta qui devait être le perso principale (à part pour la découverte du cadavre, là il y a eut un truc, mais après s'est retombé en flèche), expliquez moi la logique. Ce qui fait que même si Sarai est le stéréotype puissance 1 000% du brun ténébreux asociale, tu l'apprécies largement plus que Yuta car au moins avec lui, l'histoire avance. Enfin bon je m'égare, on parlait de Sarai et de ses rencontres. Quand Sarai rencontre la dessinatrices, ouais rencontre c'est un mot assez fort, disons que c'est la dessinatrice qui est allé l'agressé. Il y a aucune préparation, aucune mise en situation, RIEN, elle arrive, dit de la merde pour bien faire comprendre qu'elle sait des trucs et qu'on la verra plus tard dans la série, le tout sans introduction en amont (donc t'as l'impression vois juste une femme un peu perturber qui va raconter sa life à des ados, pas du tout glauque), et elle se casse. La classe donc. C'est comme la "RENCONTRE" entre Sarai et Shun (le policier). On voit qu'ils ont voulu faire comme les série américaine de merde où ils marchent dans la rue ou dans un couloir sans se parler et qu'il y a un slow motion au moment où ils se croisent pour marqué l'instant. Un peu cliché mais ça aurait pu marcher si l'autre flic disco ne s'était pas retourner juste après en faisant un sourire de gamin attardé. A part alourdir la scène et faire comprendre au plus stupides n'ayant toujours pas compris que Shun travaille sur Sarai, cela ne sert à RIEN. Vraiment, plus on avance dans l'animé, plus on aperçois que l'histoire a été raconté juste pour parler de paranormale, mais qu'il n'y a pas réellement eut d'idées concrètes sur son écriture, ce qui expliquerait une tel négligence sur sa réalisation. C'est juste une série pour ramener de l'argent et pas une série prévu pour raconter quelque chose de vraiment travaillé. Cette série est inintéressante au possible, a été écrit et réaliser par des incapables, et dans sa grande classe, diffuse des idées malsaines qui frôlent subtilement entre sexisme bas de plafond et irrespect de la vie d’autrui, que dire de plus ?

2/20

Il faut pas encourager l'arrivé d'animés aussi bâclé et aussi peu travailler. Ce n'est pas un gage de qualité, et cela ne le deviendra jamais. Le Paranormal interpelle et intéresse donc le fait de faire un manga ou un animé thriller/science fiction sur le paranormal est en soit une très bonne idée, mais il ne suffit pas de se limiter à si peu pour faire un bon animé.

En attendant de savoir si j'ai tort ou raison, je vous invite quand même à avoir vôtre propre opinion sur l'animé. Faites vous un avis constructif et n’hésitez pas à le partager. De mon côté je le respecterai s'il est en désaccord avec le miens mais je le respecterai encore plus si vous de vôtre côté vous respectez mon avis.